ainsi, il doit fonctionner selon les nouvelles instructions d’ordre public

L’instruction qui établit le Directives institutionnelles pour le rétablissement de l’ordre en Colombie Il a été délivré le 25 septembre par le directeur de la police nationale, le général Henry Sanabria Cely.

Le document, qui se compose de 10 pages, a été connu ces dernières heures par différents médias nationaux, rapporte que L’Unité Nationale de Dialogue et de Maintien de l’Ordre (UNDMO) est la composante d’Esmad qui favorisera le dialogue.

Cette unité, ainsi que les agents en uniforme des politiques métropolitaines et départementales, doivent respecter les dispositions des nouvelles directives pour procéder lors de troubles à l’ordre public. Spécifiquement, Il y a 11 scénarios que le document propose.

Il s’agit de la manifestation publique, de la grève, du trouble dans le service public, collectif ou officiel des transports ; obstruction de la voie publique portant atteinte à l’ordre public, affrontement entre groupes organisés de supporters de football, émeutes, éradication de cultures illicites, exploitation illégale de gisements miniers, luttes collectives, émeutes dans les prisons ou les pénitenciers et usurpation de biens immobiliers ou fonciers.

En cas de manifestation publique, les consignes soulignent qu’il s’agit d’un droit inscrit dans la Constitution, ce qui implique que, dans ce cas, « les agressions verbales doivent être tolérées par le personnel en uniforme. »

Cela signifie que la bonne réputation de la police nationale peut être affectée dans ces scénarios avec des expressions offensantes de la part des manifestants et qu’il ne devrait donc y avoir aucun type de réaction de la part des membres de la force publique.

En outre, le document détermine que l’accompagnement de la police doit être discret afin que leur présence ne soit pas utilisée pour inciter à la haine et ordonne que, dans les cas violents tels que vandalisme sur des biens publics, port d’armes ou autres situations, l’Esmad ou la nouvelle unité de dialogue doit intervenir.

En ce qui concerne les journées de protestations avec la présence de jeunes entre 15 et 24 ans, les instructions précisent que la première intervention ne viendra pas des responsables de la coexistence mais de la force disponible, tandis que si l’agressivité est très élevée, l’UNDMO devra intervenir. .

Se référant à invasion de terres, l’intervention initiale sera de la force disponible et, en cas d’agressivité accrue, la nouvelle unité arrivera. Si les 48 heures d’occupation sont dépassées, délai donné par le Gouvernement pour évacuer les biens, des arrestations pourront être opérées.

Enfin, la force disponible sera la première à intervenir en cas de affrontements entre barreaux courageux. Dans ces situations, il doit toujours y avoir un accompagnement de ces uniformes en déplacement. Si vous voulez connaître toutes les instructions, vous pouvez consulter ce lien.