Colonialismo.com – Dernières nouvelles

Pour certains hispanicphiles, parler de colonialisme est une hérésie. Ils tirent toujours à la ceinture, que ceux qui, en ce qu’ils pensent, l’exercent à partir de préjugés, de pseudohistoire et d’ignorance, liés par des intérêts idéologiques, politiques ou simplement des névroses, si graves qu’elles affectent des personnes intelligentes, cultivées et tolérantes dans tous les domaines : des intellectuels, des critiques et même de « grands historiens ont souffert ».

Autrement dit, comme dirait le sage Quichotte : vous avez croisé le colonialisme et son père, l’impérialisme.

Ils expliquent avec peu de bon sens que l’hispanophobie externe est très nocive. Surtout celle de notre Amérique, bien qu’ils la soutiennent. Celui qui leur semble le plus irritant et qui sort la pierre est celui de l’intérieur. Et comme c’est dur. Ainsi, leurs groupes « de droite » ont décidé avec leurs « vox en l’air qu’ils allaient les extirper de Mère Espagne ». Ils sont péninsulaires : qu’ils le mangent avec leur pain.

Pour notre vie politique, il est remarquable de constater que les différences avec nombre de ses dirigeants sont remarquables. Fait : il suffit de lire la presse espagnole pour connaître la faible estime dans laquelle ils nous tiennent. Ils crient comment notre démocratie devrait être. Ils disqualifient sans connaître le système de vote que nous utilisons. Ils ont participé et participent à toute action censée contribuer à déstabiliser notre système de gouvernement. Les organisations internationales attaquent toute motion proposée pour exposer les 400 sanctions plus le blocage des comptes que nous subissons.

L’intérêt est de ratifier que nous avons été une colonie pendant plus de 300 ans et que cela a confirmé la première forme du processus impérialiste et sa conséquence, le capitalisme, dont l’humanité a souffert et souffre. Ajoutons à ce premier colonialisme vieux de 300 ans celui que colonialismo.com nous contrôle aujourd’hui. Celui qui depuis 200 ans et de loin impose ses lois et nos tribunaux et institutions. Aussi brutal aujourd’hui qu’il y a 500 ans, ce qui permet de savoir si ce vote qui par la loi vous correspond à déposer ce 21 novembre est légal ou non. Et plus grave est que ce brutalisme a au Venezuela des « cipayes » qui sont prêts à donner leur vie pour accepter la volonté de Biden sur la valeur du vote que vous, de Guatire, ferez le 21.

Existe-t-il colonialismo.com ou non ?