Depuis la Plaza Bolívar à Caracas, elles ont défilé pour la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, avec pour devise « Parler pour sauver, parler pour guérir », pour une société féministe et inclusive.
Le chef du gouvernement, Nahum Fernández, « a déclaré que les femmes vénézuéliennes sont un exemple de force et de persévérance, démontrées dans leur trajectoire historique et dans la lutte qu’elles ont menée dans la révolution bolivarienne ».
De même, il a affirmé que le blocus international imposé au Venezuela a attaqué la femme et la famille avec violence, et ces conditions ont été surmontées par la femme vénézuélienne.
Pour sa part, le Mouvement des femmes a partagé une déclaration, où ils condamnent la violence de toute nature contre les femmes dans le monde, luttent pour les droits fondamentaux d’une société basée sur les valeurs d’amour et de solidarité des peuples.
Dans le texte, ils exhortent à unir les efforts pour un pays sans violence, l’État étant le garant des droits des femmes, avec le soutien des politiques de soins et de protection du président de la République, Nicolás Maduro.
À leur tour, dans plusieurs États du pays tels que : Anzoátegui, Mérida, Cojedes, Carabobo, Zulia, Miranda, Portuguesa, Sucre, Delta Amacuro, entre autres, des femmes se sont mobilisées, afin de faire entendre leur voix pour la Journée internationale de l’élimination de la violence contre les femmes.
Il convient de noter que la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes est une mesure promue par l’Organisation des Nations Unies, avec laquelle elle entame un programme d’activisme qui se déroulera du 25 novembre au 10 décembre au niveau international. .
